Coléoptères croisés sur le chemin.
Peiner à voir son image détruite.
Peiner à voir.
Peiner.
Douleur, profondément physique, profondément psychique.
L'un des auteurs réels de la descente, pas le pantin qui a tiré, mais celui qui a tiré les ficelles, il se regarde dans le miroir. On ne remontera pas jusqu'à lui. Il est sauvegardé par le système qui l'a fait.
Il a toute sa capacité visuelle mais se condamne à l'aveuglement. Il n'a pas mal et pourtant.
Il jouit de cette tranquillité superficielle. De cette petite mort qui le fait vivre. Comment.
Quelle est cette liberté ? Quel est ce pouvoir ? Quelle est cette jouissance ?
Ce n'est pas l'abîmé qui s'abîme.
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